Bonjour à tous, je vous rejoins sur les conseils d' OBSOLETE, rencontré récemment qui m'a longuement parlé de ce site dédié aux motos comme je les aimes.
Tout jeune, j'étais passionné par la mécanique en général (j'en ai fais mon métier, je suis garagiste à mon compte) et par les motos en particulier.
Un de mes cousin plus âgé fut le premier à m'emmener sur sa bécane, une 350 CB, j'avais huit ans et était en vacances chez mon grand père dans les Ardennes, ce fut la révélation, ces virages pour monter à Hargnies (pour ceux qui connaissent) resterons gravés dans ma mémoire à tout jamais.
Grâce à lui j'ai connu les plus belles machines japonaises qu'il y avait dans sa bande.
C'était l'époque où l'on pouvait annoncer la marque et la cylindrée de la bécane sans trop se tromper rien qu'en l'entendant arriver.
Habitant à huit kms de Montlhéry, je m'y rendais en vélo pour assister aux courses motos, j'y ai vu la dernière coupe Kawa en 350 S2.
De fait, je roulerais en moto, c'est sûr.
Comme beaucoup, j'ai commencer avec un 103 que j'avais un peu affuté et avec lequel j'ai fait 24000 kms en deux ans.
Puis, celle qui fut ma toute première moto (une machine similaire)
Une 125 YAMAHA YAS1 de 1969, j'avais 16 ans et désirais une RDX, mais faute de moyens, je me suis rabattu là dessus.
L'aspect faisait vieillo, elle n'avait que dix ans, mais elle marchait vraiment très fort et avait une super sonorité, un an plus tard, je la revendais à un copain et m'offrais une MOTOBECANE 125 LT2 de 1974 que je possède toujours
Là, en matière d'esthétique et d'équipements, j'avais touché le fond, mais question vitesse de pointe, tenue de route et freinage, les nippones dont celle de mon épouse d'alors, une HONDA 125 TWIN de 1979 ,que j'ai conservée
pouvaient toujours s'accrocher, sur la "TOBEC", il n'y avait que la boîte de vitesses qui était perfectible avec en plus un sélecteur à droite qui demande une certaine habitude.
J'ai depuis retrouvé une AS1, vingt ans plus tard
Des années plus tard, je menais une restauration complète (hors bas-moteur) sur une BMW R69 de 1955
Une moto fabuleuse tout simplement.
cependant, la BM était un peut juste pour suivre les copains en "récentes", et puis mon palpitant a toujours battu pour les deux-temps, alors à force de recherches, la perle rare: une SUZUKI 750 GT de 1976
Un rêve devenu réalité, modèle USA, moins de 10000 kms.
Une bonne à tout faire, une HONDA 400 CX de 1983
achetée à un beau-frère distribution cassée (talon d'achille de ce modèle), très agréable à conduire.
Une HONDA 1000 GOLD WING de 1975
en échange de services rendus.
Le YAMAHA PEE-WEE
du gamin, sur lequel il s'est fait la main,
puis, il a gouté à l'AS1
donc, il a eu la sienne, une YAMAHA 125 RSDX de 1977
Cette MONET-GOYON 100 2SG d'environ 1955 car je n'ai pas la carte grise
destinée à ma compagne, un vélomoteur invendu d'usine, qui n'avait ni chambres à air, ni pneus, preuve qu'il n'avait, comme le précisait l'annonce, tourné que sur la béquille.
Pour rouler "actuel" et mettre moins de kilomètres aux "vieilles", la plus récente, une YAMAHA 1000 FZR de 1988
Là, c'est un autre monde!!!!!
A force d'avoir participer aux Coupes Moto Légendes avec des machines de séries, le déclic, se préparer une imitation de TD3 sauce TZ en partant d'une épave de YAMAHA 350 RD de 1974
arriver au produit fini
et rouler avec
la boucle est bouclée, depuis, avec quatre copains et des moyens en commun, nous en sommes à une petite écurie
il y a deux HONDA 350 CB, une KAWASAKI 350 S2, une SUZUKI T250 et la RD
Voilà, vous savez tout ou presque.