Ah c'est vrai, je dois reconnaître, moi je faisais des serrages "propres"
Un joli trou au milieu du piston, mais l'avantage, c'est que ça n'abîmait pas les cylindres, un coup de marteau, une nouvelle paire et hop, ça repartait pour un tour
En plus de cela, coup de bol, comme cela me le faisait toujours en accélérant, je me suis jamais fait de chaleurs!
Je te laisse volontiers la première place!
Comme disait ma chère et tendre, il aurait fallu que la course ne fasse qu'un tour l'année dernière!
Bon, normalement, c'est résolu, on verra cette année.
Comme Môssieur notre préparateur / éleveur de grenouilles attitré me traite de sardine pachydermique, v'là le décompte:
- Coluche (1 serrage)
- Le Mans (2 serrages, un il est vrai à cause d'une durite qui s'était fait la malle)
- 3 jours avant Croix (ce qui nous avait amené à remettre le moteur stock de chez stock)
- Nogaro (après un tour et demie de reco du Circuit, alors que la meule n'était pas descendues de la remorque depuis Croix où elle avait tourné niquel)
- mi-août (un serrage en faisant des essais à Carole avant la course fin août)
- Fin août à Carole, un nouveau serrage
En v'la donc 7, d'accord j'ai un peu exagéré, la vérité est rétablie
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