D'accord avec vous, pour espérer jouer devant dans le VMA (vu les forces en présence) il faut une T500 fortement modifiée.
Exemple pour la mienne :
- Cadre TR ou Seeley (10 kg avec le bras oscillant) à comparer aux 22 ou 23 kg de l'origine
- fourche Ceriani
- disque (simple ou double) avec étriers AP Racing
- Maitre cylindre avant AP Racing
- Amortisseurs arrières Ohlins
- disque à l'arrière avec etrier AP Racing
- maitre cylindre arrière Brembo
- Le tout en durit aviation
Moteur :
- Vilo très allégé avec système de remplissage du vide créé par cet allègement
- bielles spéciales (plus courtes)
- cylindres TR préparés par MPC
- culasses avec squish et bougie centrale
- système de montage cylindre et culasse très différent de l'origine.
- boite racing (soit NOVA ou boite faite en France à Paris)
- tout le système de quick enlevé
- pompe à huile enlevée
- transmission primaire à taille droite et rapport différent de l'origine
- embrayage à sec (origine RG500 de course)
- Carburateur VM diamètre 38 avec power point
- gicleur environ 310 à 330
- alimentation par mélange essence + huile
- essence compétition (ou essence aviation)
- allumage electronique type sans batterie (avec avance variable)
- différents CDI suivant les circuits (courbe d'avance différente)
- régime maxi moteur 9500 tr/mn (mini 7000 tr/mn pour que ça commence à pousser)
- Chaine type 520 RK (avec attache rapide)
- pots de détente faits soit par "Millet" pour la TR, soit par Yves Kerlo pour la Seeley.
- Pneu avant Dunlop KR 825 tendre
- Pneu arrière Dunlop KR 124A medium
- Cadre peinture Epoxy (fait par MPC)
- guidon bracelet fait sur mesure par MPC
- Huile de boite Ipone Racing (vidangé après chaque course)
- Mélange avec huile 2T Ipone Racing 3,5 %
- Braquet nécessaire :
- Pignon sortie de boite 14 et 15 dents
- couronne de 31 dents à 38 dents
- poignée de gaz provenant d'une Yamaha TZ
- système d'enrichisseur au pouce (provenance Yamaha TR3)