niveau d'huile 750 four

vtr36 a écrit:

oui Jacky je suis d' accord avec toi ,mais jean luc et sa 4 pattes sont de Rouen.
par-contre j'espere bien te voir au classic circus à moulin en mai!!!!!!!!

je n'ose plus faire de pronostiques mais normalement on sera heureux d'aller te voir ce n'esp pas simple pour mon épouse !

Rouen Vichy 590 kms.
ça doit faire de beaux BB bretons Bourbonnais.

pas mal le coup du BB

c'est le dernier avion construit avec mon pote Claude un BB Jodel !

avec Mondialen on se posait la question:

-est que ça va faire des Brenais ou des Bourtons ??????????

pour l'instant il y en a 3 plus une Brenaise ou une Bourtonne et en math - x - = + et + x + = + et là !!!!! c'a fait +++ !!!!!!!

Moi qui n'a aucune origine Bretonne, j'adore cette région. J'envisage sérieusement d'aller visiter l'Allier. Et surement d'aller embrasser JF vu qu'on ne peux plus lui serrer la main.
Peu importe ce que seront tes petits enfants . Ce que je leurs souhaite , c'est d'avoir autant de passion que leur grand-père.

DIALMAX a écrit:

on parle des 4 pattes mais il est très efficace aussi sur les CB350, 450, mais aussi sur les 350 S2, 500 H1, car avec 3 rupteurs c'est pas mal non plus et quoique en disent certain les 2 temps aiment être bien règlé eux aussi !!!! après Kawa avait généralisé les alumages électronique la tache était simplifiée.

quand il va lire la rubrique je pense qu'il y en un qui va amener de l'eau à mon moulin !

Ah tu veux de l'eau à ton moulin tu vas en avoir !

Les allumages à rupteurs ont connus plusieurs versions selon les marques et les époques.

Un allumage de CB 350 ou de CB750 comporte 2 plateaux et pouvait (et peut toujours) être réglé au petits oignons mais avec un certain doigté comme expliqué plus haut par DIALMAX. Un plateau principal qui est fixé aux carters (ou palier d'AC pour la 350) permet de régler le rupteur directement fixé dessus. Angle de came par action sur le rupteur et avance en agissant sur le plateau principal. Le 2ème rupteur se règle indépendamment puisqu'il possède son propre plateau d'avance. C'est pas mal mais l'inconvénient c'est qu'en réglant l'avance du 1er rupteur on dérègle forcément le 2ème, il faut donc bien procéder par ordre.

L'écartement est lié à l'angle de came puisque défini par le profil de la came, même si c'est l'angle de came qu'il faut privilégier, et c'est là que le centrage du plateau et la non usure de l'alésage de l'avance automatique, de son axe et de ses ressorts sont importants.

Une évolution a été apportée par la 900 Z1, Z650 etc... l'allumage comportait 3 plateaux. Le plateau principal fixé sur les carters et chaque rupteur fixé sur son propre plateau et là c'était royal. Chaque rupteur pouvant se régler indépendamment l'un de l'autre.

Mais il y en avait de moins drôles, des allumages ne comportant que le plateau principal sur lequel étaient fixés les 2 rupteurs et là pas le choix. L'un était réglé pile poil l'autre ne pouvait respecter que le point d'avance que l'on privilégiait évidemment par rapport à l'angle de came et c'est là que le petit coup de lime sur le patin était quelquefois nécessaire.

Il y avait aussi des allumages plus précis que d'autres. Kawa montait principalement des allumages Nippon Denso mais quelquefois aussi des TEC. Et bien quand on ouvrait le couvercle et qu'on découvrait un allumage TEC on savait qu'on ne pourrait pas faire un réglage ultra précis.

L'angle de came appelé également angle de fermeture est très important. C'est la valeur d'angle pendant laquelle le rupteur est fermé donc le temps pendant lequel la bobine charge son primaire.

Tout cela sans synchroscope et sans lampe strobo est impossible car ces réglages doivent s'effectuer en dynamique.

Et puis les allumages électroniques se sont généralisés..................

Superbe explication Daniel.

heureusement qu'il est là ! il est plus jeune et a encore la pêche pôur tout raconter!!!!



cacajou si tu viens par chez nous averti qu'on te fasse visiter !

d'abord dégustation de toutes les eaux de Vichy !!! tu ne sera pas déçu !

les gorges de la sioule , la montagne bourbonnaise avec un passage et étape au Mayet de Montagne (route de St clément! hein !)

etc etc etc

C'est noooo --té !

tien, au fait, j'ai eu l'occasion de me balader à Sainte, un ami malheureusement disparu originaire des alentours de Cognac et son épouse copine d'enfance à été habiter à Port des Barques après donc on visitait le coin tout en allant voir la famille de cet ami . J'avoue que la région ne pas déplu surtout la lumière le matin; la première arrivée un matin aux alentours de 7 heures vers Rochefort m'est resté dans la tête,

Ah !!! , l'océan, les crustacés, l'iode . La France est belle. Sauf quand un tanker y verse ses huiles .

Mais c'est trop bon !!!

Encore !!!!

Que de passion !
On se sent moins seul à ferrailler sur nos vieux tromblons.

Tu remarqueras que je termine par le mot "huile" qui est le sujet du post .

Bien vu !!!

Ceci dit, suis tout de même impatient de vérifier si mon "bricolage merdouile" fonctionne.

Et promis, si ça marche, je ferai quelque chose de plus élégant et surtout plus fiable, avec les raccords qui vont bien....

Bonjour.
Me revoilà.
J'étais perdu dans des pensées huileuses.

jean luc a écrit:

Je pense qu'il serait encore plus simple de créer un circuit spécial avec une pompe supplémentaire, pourquoi pas électrique, qui irait directement du réservoir au radiateur.
En plus, la pompe pourrait-être commandée par un thermostat.

J'attends mon réservoir de F1, et comme de toute façon je vais être obligé de le bricoler (ne serait-ce que pour y ajouter une mise à l'air libre), je vais peut-être y installer une sonde de niveau, avec un voyant.

Intéressant et séduisant, tout ça.
J'aime bien l'idée du circuit secondaire, et aussi l'idée de la sonde de niveau.

Mais il est curieux, quand même, le domaine de la mécanique ! (ce n'est pas le mien ; le mien, c'est le bâtiment : les gens y sont bien plus rationnels = interdiction de sourire).

En mécanique, on n'hésite pas à mettre un accessoire supplémentaire (une pompe) utilisant une autre source d'énergie (électrique) pour évacuer (= gaspiller) la chaleur (= énergie) produite en trop par la première source (l'essence).

On ne pourrait pas trouver un dispositif utilisant la chaleur elle-même comme énergie pour s'auto-évacuer ?

A défaut, j'ai pensé à un dispositif, que si DIALMAX dit qu'il a existé, je veux bien me les couper ! (au cas, ça tomberait bien, il faut quand même que je passe chez le merlan).

Le dispositif :
depuis le robinet d'essence, un goutte-à-goutte sur le réservoir d'huile (la configuration est idéale, l'installation serait minimale).
L'essence étant un liquide relativement volatile, son évaporation rafraîchirait le réservoir.

On appellerait ça « le refroidissement à essence perdue ».

Quand je vous le disais que, dans le bâtiment, nous sommes des gens pleins d'idées !

olidelac a écrit:

...... (ce n'est pas le mien, le mien, c'est le bâtiment : les gens y sont bien plus rationnels = interdiction de sourire).

......

Quand je vous le disais que, dans le bâtiment, nous sommes des gens pleins d'idées !

Ah bah !!! moi aussi je travaille dans le bâtiment !!

La mécanique n'est qu'un loisir..... attisé par la curiosité

Heu!!! t'as vu le prix de l'essence ?

hum !!

J'ai pas voulu épiloguer sur ce sujet.......


EDIT.

Pour en revenir au sujet d'un circuit parallèle, je n'ai trouvé que des pompes à essence qui pourraient être montées, mais le débit est beaucoup trop insuffisant...

tu veux refroidir l'huile de la 7 1/2, au préalable a tu contrôlé sa température dans son utilisation maxi ? finalement c'est le plus important car de cette façon tu verra si c'est indispensable de la refroidir! 120/130° maxi on peu laisser tomber . le mini 80/90° ; le système par carter sec la fait refroidir.

binh oui, mais..........................

depuis que j'ai monté le radiateur, je ne me brûle plus la cuisse sur le réservoir.............

Certes, je pourrais remettre le cache......

à partir de quelle température ressent-on la sension de brûlure sur une cuisse ? est-ce une peau tannée par les ans ou une pellicule soyeuse comme celle d'une jeune fille ? disons qu'à 80/90 on déjà la sensation de brûlure, j'avais monté des thermo sur certaine 750 ou sur ma 500 et je ne me souviens plus des mesures!!
je pense que ce n'est pas indispensable sur un moulin d'origine sinon on aurait eu beaucoup plus de casse .

DIALMAX a écrit:

....
je pense que ce n'est pas indispensable sur un moulin d'origine sinon on aurait eu beaucoup plus de casse .

Je suis tout à fait d'accord.................sur le principe !

Mais sur le principe seulement.......

C'est l'avantage du cafra.
Laisser libre cours à ses "délires"....

jean luc a écrit:

Ah bah !!! moi aussi je travaille dans le bâtiment !!
La mécanique n'est qu'un loisir..... attisé par la curiosité

C'est un loisir que je n'ai pas moi-même choisi : j'ai été happé par les remous de la passion de ma progéniture pour la moto.
Si ça n'avait pas été ça, je ferais de la peinture ou de la sculpture à mes heures libres.
...
Lequel a le plus gagné ou perdu dans l'échange ? L'art ou la mécanique ?
...

C'est un lapsus. La mécanique est un art.

avec l'apprenti dans cet art, l'art pète !!!



ah! je crois qu'on m'appelle pour la soupe et mes médoc!!!!!!

cacajou a écrit:

La mécanique est un art.

C'est vrai que certains (pas moi) la pratiquent à ce niveau.